L’épouse du Chef de l’Etat, Sylvia Bongo Ondimba, continue sa tournée du pays. Après Port Gentil, la présidente d’honneur de la Fondation Sylvia Bondimba Ondimba (FSBO), s’est rendue dans les localités d’Omboué et Gamba dans le cadre de la commémoration de la 2ème édition de la campagne ” octobre Rose”, dédiée à la lutte contre les cancers féminins..
Sylvia Bongo Ondimba, première dame du Gabon a lancé une tournée d’information et de prévention médicale contre les cancers féminins – sein, utérus… – mardi 13 octobre 2015 dans la province de l’Ogooué Maritime. Cette campagne vise à dépister 10 000 femmes. Pour cela, plusieurs actions d’information et de sensibilisation sont mises en place à travers tout le pays, afin d’encourager les Gabonaises à se rendre dans les différents centres de santé équipés en matériel et dont le personnel a été formé par la Fondation SBO.
Cette campagne, nommée “Octobre rose” s’accompagne d’une multitude d’action locales et opérations de proximité. Cette caravane de sensibilisation a également pour objectif de créer un moment privilégié d’échanges et d’écoute avec les populations. Depuis le lancement de l’opération, le centre de santé urbain de Port Gentil Rechercher Port Gentil a effectué 97 dépistages, détecté 1 cas de cancer Rechercher cancer invasif du sein, 4 cas suspects de cancers du col de l’utérus et 1 cas suspect de cancer du sein.
Tout en se félicitant que le centre médical de Gamba soit désormais pourvu de toutes les commodités nécessaires pour offrir une prestation de qualité à la gent féminine, Mme Bongo Ondimba a félicité la contribution de l’entreprise pétrolière Shell Gabon, donnateur important qui a permis cet accomplissement. Elle a également encouragé l’équipe médicale à poursuivre sur cette belle lancée. Mme Bongo Ondimba a réitéré le même discours à Omboué en appelant les femmes à prendre leurs responsabilités pour réduire l’impact de “cancers féminins” dans leur entourage.
“L’initiative de l’épouse du chef de l’Etat est louable à plus d’un titre. Vous savez, le frottis est l’examen qui était le plus pratiqué, mais que beaucoup de femmes, du fait de leur statut d’économiquement faibles, ne parvenaient pas à l’effectuer. Aujourd’hui, la détection est gratuite et en continue dans les structures publiques de santé. J’ose seulement espérer que les femmes sauront en tirer le plus grand profit, et que le matériel de dépistage Rechercher dépistage puisse être approvisionné continuellement”, relève Mylène Bia la coordinatrice du programme de santé matérielle et Infantile dans l’Ogooué Maritime.
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