Le 3 mai dernier marquait une nouvelle échéance de la Journée mondiale de la liberté de la presse. Cette année, les échanges autour de cette thématique étaient tenus à Libreville. A cette occasion, le Président de la République, Son Excellence Ali Bongo Ondimba, a reçu au palais une soixantaine de représentants des médias gabonais.
Les associations des professionnels des médias publics et privés ont organisé un forum de discussion sur l’accès à l’information et aux libertés fondamentales en tant que droit humain, le 3 mai 2016 à Libreville, au Gabon. « ACCES à l’information et aux libertés fondamentales : c’est votre droit ! », voilà le thème retenu pour l’édition 2016 de la Journée mondiale de la liberté de la presse. En présence du ministre de la Communication, Alain Claude Bilie by Nze, les femmes et hommes des médias ont saisi cette occasion, qu’ils considèrent comme une tribune idéale, pour exprimer leurs doléances et remerciements.
La Journée mondiale observée au Gabon et tout autour du monde en 2016 cherche à faire progresser la liberté de la presse, ainsi qu’un environnement propice à la pratique du journalisme en toute sécurité. Dans un discours prononcé au nom de l’ensemble de la profession, Jean-Pascal Ndong Obiang, président du Comité directeur de la section gabonaise de l’Union internationale de la presse francophone (UPF), s’est félicité des libertés acquises par les médias gabonais tout en identifiant des progrès à accomplir, tant au niveau de la presse elle-même que du côté des autorités.
Le Président de la République, Son Excellence Ali Bongo Ondimba, a souhaité célébrer la Journée mondiale de la liberté de la presse en recevant au palais une soixantaine de représentants des médias gabonais. Lors d’un échange informel avec les journalistes, producteurs et éditorialistes, le Chef de l’Etat a invité la corporation à un sursaut éthique favorable aux faits et non pas aux calomnies. « Les journalistes doivent jouer un rôle pour apaiser les tensions avant, pendant et après les élections. Afin que triomphe l’égalité des chances au sein d’une société libre, apaisée, fondée sur la méritocratie et non pas sur les privilèges indus, a souligné Ali Bongo Ondimba.
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